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Osteo-Stop

Pour en finir avec l' "ostéopathie"

Site d'informations scientifiques sur une arnaque pseudo-médicale

Glossaire

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a
Adénome Tumeur bénigne résultant de la prolifération régulière d’un épithélium glandulaire normal, ce qui la différencie des épithéliomas, où la prolifération est à la fois anarchique et faite de cellules anormales.
Allopathie Mode de traitement le plus habituel, qui oppose aux symptômes de la maladie des médications dont l’activité leur est contraire.
Le terme d’allopathie n’est employé en pratique que pour différencier la médecine classique des médecines alternatives.
Aménorrhée Absence de flux menstruel.
Chez une femme habituellement réglée, l’aménorrhée fait avant tout penser à la grossesse. En dehors de la grossesse, l’aménorrhée peut relever d’une latération de l’état général (tuberculose, diabète, maladies infectieuses), de maladies endocriniennes (myxoedème, maladie de Basedow, d’Addison, de Cushing, acromégalie), de maladies des organes génitaux (malformations, infections), de déséquilibres neuro-végétatifs.
Angoisse Crainte physique accompagnée d’une oppression douloureuse.
Art Ensemble des règles intéressant un métier, une profession ou une activité humaine.
Asthme Syndrome respiratoire caractérisé par des crises de dsypnée paroxystique (essoufflement) accompagnée de trouble de la circulation et de la secrétion des muqueuses des voies aériennes.
b
Bradycardie Ralentissement des battements du coeur au-dessous de 60 pulsations par minute, limite inférieure de la normale.
Bronchite Inflammation des bronches portant surtout sur la tunique muqueuse, avec de légères altérations des couches sous-jacentes.
c
Céphalée Terme désignant un mal de tête, quel qu’en soit l’aspect ou l’origine.
Chiropraxie Méthode de traitement de certaines affections vertébrales douloureuses, par des manipulations, brèves, brusques, sur la vertèbre en cause, ou à distance, par action sur le cou, les membres, le tronc.
Fondée en 1895 aux USA par D.D.palmer et D.J.Palmer épicier et magnétiseur.
La chiropraxie postule que toutes les affections seraient dues à des compressions nerveuses résultant d’un défaut d’alignement ou « subluxation  » des vertèbres du rachis.
Colite Inflammation du côlon, associée parfois à celle de l’intestin grêle (entéro-colite). La cause peut être infectieuse bactérienne, parasitaire, virale, toxique, auto-immune.
Concept Idée, abstraction (terme philosophique).
Conjonctivite Inflammation de la conjonctive (muqueuse recouvrant l’oeil), habituellement d’origine infectieuse.
Constipation Rareté des défécations (des selles), due à une rétention anormalement prolongée des matières fécales dans l’intestin.
Cystite Inflammation aiguë ou chronique de la vessie, pouvant être isolée ou, au contraire, le témoin d’une maladie de l’appareil urinaire.
d
e
E.B.M. Evidence Based Medicine : médecine basée sur les faits.
Entorse Lésion traumatique d’une articulation, provoquée par un mouvement brutal de distorsion avec élongation ou arrachement des ligaments, sans déplacement des surfaces articulaires ni fracture.
f
Fibrome Terme désignant une tumeur formée de tissu fibreux, et également, le fibromyome de l’utérus, formé à la fois de tissu fibreux et musculaire.
Flatulence Accumulation de gaz dans le tube digestif, provoquant le ballonnement et des troubles digestifs.
Fluctuation Variation incessante d’une chose, transormation alternative d’une chose en une autre et réciproquement.
g
Grand nerf occipital d’Arnold Le Grand Nerf Occipital (Nervus Occipitalis Major), appelé aussi Nerf d’Arnold, est la branche cutanée postérieure issue du deuxième nerf rachidien soit C2. Il est responsable de l’innervation motrice des muscles de la nuque ainsi que de l’innervation sensitive du cuir chevelu dans sa partie postérieure.
Il est connu pour la pathologie qu’il entraîne : la névralgie d’Arnold, douleur en éclair paroxistique partant de la charnière cervico-occipitale et irradiant en hémicrâne jusqu’à la région frontale. Les causes et les traitements de la névrlagie d’Arnold sont encore de nos jours très discutés.
(Cf. Annexes).
Guerre de sécession La Guerre de Sécession est une guerre civile qui opposa, entre 1861 et 1865, les États confédérés d’Amérique dit du Sud aux États dit du Nord, loyaux à la Constitution des États-Unis d’Amérique.
h
Hémorroïde Tumeur variqueuse constituée par la dilatationdes veines de la paroi rectale.
Hépatite Inflammation du foie.
Les hépatites ont pour cause soit des substances (hépatites toxiques), soit des virus (hépatites virales), soit des bactéries ou des parasites (hépatites infectieuses).
Hernie hiatale Passage partiel d’un organe de l’abdomen dans la cavité thoracique à travers un orifice du diaphragme.
Hippocrate Né sur le île de Cos, v. 460 – Larissa, Thessalie, 380 av. N.E..
Du terme grec Hippokratês. Médecin grec.
Hippocrate fut le premier, en Occident, à donner à l’art médical un caractère scientifique indépendant de son traditionnel contexte religieux.
Né dans une petite île de la mer Egée, il appartenait à une très ancienne confrérie médico-religieuse, celle des Asclépiades – dont la tradition faisait des descendants d’Asclépios (Esculape), dieu de la Médecine. Après avoir appris avec son père les rudiments de la thérapeutique, il fit ses études à Athènes, puis les compléta – au cours des nombreux voyages qu’il effectua tout au long de sa vie – en Thrace, à Délos et en Thessalie, où il mourut.
Homéostasie Capacité d’autorégulation d’un système biologique lorsque varient des conditions physiologiques (température, débit sanguin, volumes liquidiens, pH, etc.) du milieu intérieur.
i
Iatrogène Se dit d’une maladie provoquée par la thérapeutique.
Impuissance Incapacité d’un individu à exercer le coït, c’est-à-dire d’avoir un rapport sexuel normal.
Incontinence Emission involontaire des urines ou des matières fécales. Quand elle est, de plus, inconsciente et se produit pendant le sommeil, in dit énurésie pour la perte des urines, et encoprésie pour la perte des matières fécales.
Inhérent,e Se dit d’une chose qui est liée d’une manière inséparable, nécessaire, à une autre ou à une personne.
Insuffisance respiratoire Aboutissement de nombreuses affections, thoraciques ou autres, caractérisé par la carence partielle des fonctions pulmonaires d’oxygénation, d’épuration en gaz carbonique et d’équilibration acido-basique du sang artériel.
j
k
l
m
Mastodynie Douleur de la glande mammaire.
Médecine Traditionnelle L’expression médecine traditionnelle se rapporte aux pratiques, méthodes, savoirs et croyances en matière de santé qui impliquent l’usage à des fins médicales de plantes, de parties d’animaux et de minéraux, de thérapies spirituelles, de techniques et d’exercices manuels – séparément ou en association – pour soigner, diagnostiquer et prévenir les maladies ou préserver la santé.

En Afrique, en Asie et en Amérique latine, différents pays font appel à la médecine traditionnelle pour répondre à certains de leurs besoins au niveau des soins de santé primaires. En Afrique, jusqu’à 80 % de la population a recours à la médecine traditionnelle à ce niveau.

Dans les pays industrialisés, la médecine « complémentaire » ou « parallèle » est l’équivalent de la médecine traditionnelle.

 

Définition de l’OMS La médecine traditionnelle peut être codifiée, réglementée, enseignée ouvertement, pratiquée largement et systématiquement et bénéficier de milliers d’années d’expérience.

Inversement, elle peut être hautement secrète, mystique et extrêmement localisée, la connaissance de ses pratiques étant transmise de manière orale. Elle peut être basée sur des symptômes physiques saillants ou sur des forces surnaturelles perçues. Il est clair qu’au niveau mondial, la médecine traditionnelle échappe à une définition ou à une description précise, étant donné qu’elle contient des caractéristiques et points de vue divers et parfois contraires. Une définition de travail est néanmoins utile. Pour l’OMS, une telle définition doit nécessairement être complète et exhaustive.

L’OMS définit donc la médecine traditionnelle comme comprenant diverses pratiques, approches, connaissances et croyances sanitaires intégrant des médicaments à base de plantes, d’animaux et/ou de minéraux, des traitements spirituels, des techniques manuelles et exercices, appliqués seuls ou en association afin de maintenir le bien-être et traiter, diagnostiquer ou prévenir la maladie.

Source : Stratégie de l’OMS pour la Médecine Traditionnelle pour 2002–2005 p. 17 (PDF 542ko)

Méningite Affection inflammatoire des méninges.
Les méningites associent à un syndrome infectieux fébrile un syndrome méningé et des anomalies du liquide céphalo-rachidien qui constituent la base du diagnostic. Lorsqu’à la méningite s’associent des signes nerveux proprement dits, on parle, selon les cas, de méningo-encéphalite, de myélite ou de radiculite.
n
Nausée Malaise ressenti de l’estomac jusqu’à la gorge, et dont l’expression la plus fréquente est l’envie de vomir communément appelée « mal de coeur ».
Névralgie Douleur dans le territoire d’un nerf donné.
Une névralgie est est due soit à une affection du nerf lui-même (névrite), soit à une compression qui s’exerce sur le nerf, le plus souvent à son émergence hors du canal rachidien ou sur son trajet dans un membre (lésion osseuse, tumeur,…).
Névrose psychosomatique Affections s’exprimant par des symptomes corporels, dont les causes principales sont émotionnelles ou affectives.

o
Ostéopathie Maladie des os, en général sans présumer de la cause ni des manifestations
Otite (moyenne) Inflammation de l’oreile moyenne, de type divers, aiguë ou chronique, suppurée ou non suppurée.

p
Paresthésie Sensation anormale.
Il peut s’agir d’une anomalie de perception d’une stimulation réelle ou d’une sensation apparaissant en dehors de toute excitation. Les principales paresthésies sont les fourmillements, picotements, engourdissements, sensations de chaud ou de froid. Les paresthésies s’observent dans de nombreuses affections du système nerveux, mais aussi au cours de divers troubles circulatoires.
Philosophie Ensemble des considérations et des réflexions générales, constituées en doctrine ou en système, sur les principes fondamentaux de la connaissance, de la pensée et de l’action humaine.
Physiologie Science qui a pour objet l’étude du fonctionnement des organismes vivants.
Postulat Principe premier, indémontrable ou non démontré,et qu’il faut admettre pour établir une démonstration
Principe Proposition fondamentale dans une discipline, une science particulière
Prostatite Inflammation de la prostate, d’origine microbienne.
Pseudo-sciences Sont désignées sous le nom de pseudo-sciences les pratiques qui se réclament de la science tout en s’écartant de la méthode scientifique mais en mimant certains aspects. On peut citer par exemple l’astrologie, l’homéopathie, la morphopsychologie.

Le philosophe Karl Popper s’est longuement interrogé sur la nature de la démarcation entre science et pseudo-science. Dans son ouvrage Conjecture et réfutations, après avoir remarqué qu’il est possible de trouver des observations pour confirmer à peu près n’importe quelle théorie, il propose une méthodologie fondée sur la réfutabilité.

Sur ce point, il convient d’affirmer que la critique des pseudo-sciences ne se limite pas à celle de la pensée magique, mais aussi à elle de toutes les disciplines dont le raisonnement est basé sur des convictions purement doctrinales.

Tel est par exemple le cas du darwinisme social (dérivé fallacieux de la théorie de l’évolution, proposant une hiérarchie de races plus ou moins évoluées dans l’espèce humaine), du matérialisme dialectique marxiste, ou de la psychanalyse.

Certaines thèses pseudo-scientifique ne soulèvent pas (ou plus) de controverses. Par exemple :

le physicien Terence Meaden tenta de démontrer l’existence de mini-tornades capables de créer des motifs dans les champs de céréales
l’astrophysicien Jean-Pierre Petit affirma que ses recherches cosmogoniques lui avaient été inspirées par des courriers reçus d’un groupe d’extraterrestres.
Jacques Benveniste et la mémoire de l’eau.
D’autres au contraires sont au coeur d’intenses polémiques. C’est le cas de l’homéopathie.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Science

Psychosomatique Partie de la médecine qui étudie les troubles corporels de cause psychologique et le retentissement psychique des maladies organiques et somatiques.
L’attitude psychosomatique met l’accent sur les influences réciproques des phénomènes émotionnels et des phénomènes physiologiques et considère l’homme malade comme un tout indissociable.
q

r
Raideur (articulaire) Limitation plus ou moins grande de la mobilité d’une articulation, sans lésion des surfaces articulaires. La raideur est secondaire aux traumatismes (fractures, luxations, entorses) mais aussi à l’immobilisation plus ou moins prolongée après un plâtre ou une intervention chirurgicale.
Randomisation Tirage au sort.
Rationnel(le) 1°. Qui provient de la raison ; qui est déduit par raisonnement
2°. Fondé sur des calculs scientifiques
3°. Conforme à la raison, au bon sens.
Rhino-pharyngite Inflammation d’origine microbienne ou virale de la partie supérieure du pharynx (ou rhino-pharynx).
Rhume des foins Nom commun de la rhinite allergique.
Inflammation de la muqueuse nasale, d’origine allergique.
les autres types de rhinite sont : les rhinites vestibulaires, les rhinites aiguës, les rhinites chroniques.

s
Science Connaissance exacte et raisonnée de certaines choses déterminées.
Historiquement, la science (du latin scientia, connaissance) dérive de la philosophie. Au cours du Moyen-Âge, la science s’est progressivement détachée de l’emprise de la théologie. Au cours du développement des connaissances et de l’accumulation des savoirs divers, elle s’est structurée en disciplines scientifiques : chimie, biologie, physique, mécanique, optique, astronomie, économie, sociologie… Aujourd’hui, la science désigne à la fois une démarche intellectuelle reposant idéalement sur un refus des dogmes et un examen raisonné et méthodique du monde et de ses régularités, et visant à produire des connaissances resistant aux critiques rationelles, et l’ensemble organisé de ces connaissances
Voir article « Science » dans Wikipedia
Sensibilité Qualité d’un test de dépistage : pourcentage de malades reconnus comme tels (vrais positifs) à partir d’un échantillon de malades.
Sinusite Inflammation des sinus osseux de la face.
Spécificité Qualité d’un test de dépistage : pourcentage de non malades reconnus comme tels (vrais négatifs) à partir d’un échantillon de non malades.
Strabisme Trouble de la vision binoculaire, qui aboutit à la non-perception d’une des deux images perçue par les yeux.
t
Tachycardie Accélération du rythme cardiaque, et plus précisément du rythme ventriculaire.
Tension 1°. Etat de ce qui est tendu
2°. Différence de potentiel entre deux points d’un circuit
3°. Réaction des artères à la pression du sang et de même valeur que celle-ci.
Toux Expiration forcée violente et explosive.
u
v
Valeur prédictive négative Qualité d’un test de dépistage : pourcentage de sujets non malades parmi les sujets ayant un test négatif.
Valeur prédictive positive Qualité d’un test de dépistage : pourcentage de sujets malades parmi les sujets ayant un test positif.
Vomissement Rejet par la bouche du contenu de l’estomac.
w
x
y

z
Zona Maladie infectieuse d’origine virale, caractérisée par une éruption cutanée douloureuse dont la topographie unilatérale, qui suit le trajet d’un nerf sensitif est spécifique.